de belles idées de patchwork

Pendant les vacances, Lucette a fait un tour au salon de Nantes intitulé: "POUR l’AMOUR DU FIL" – 27 avril 2011 à NANTES

Elle nous raconte sa journée  et nous montre ses photos;

 Mercredi 27 avril à 8 heures tapantes, départ du TGV pour Nantes. Direction le Salon « Pour l’amour du Fil ». Arrivée à 10 heures à la gare de Nantes, à 10 minutes à peine de marche de l’exposition. Pas de temps à perdre.

 S’il y a un Salon qui porte bien le nom « Pour l’amour du fil », c’est celui de Nantes.

Certes, ce salon est de taille plus humaine que ses grands frères parisiens, mais des « petits » exposants qui sont souvent des créateurs, pas toujours connus. Bien sûr, il y a des noms connus que l’on voit à « l’Aiguille en Fête », mais il y a des noms moins connus, français et étrangers, qui proposent de très beaux ouvrages.

Rien à dire : l’accueil est chaleureux, pas de queue à la caisse pour acheter son billet, pas de foule dans les allées non plus. J’ai donc le temps de regarder, de flâner sans me faire bousculer, des exposants aimables et détendus. On peut passer, repasser devant les stands, discuter, toucher et même prendre des photos !!!

Il y a des expositions, non pas une mais plusieurs expositions qui portent le nom de « maison » : la maison de la papesse du patchwork japonais : Yoko Saïto et même la présence de la papesse qui dédicaçait ses livres, Jan Patek, Shizyha…..Une exposition sur les soutiens-gorge de Pink Bra Bazaar : très amusante, mais pas de photo car mon appareil faisant son très très mauvais caractère pour la fin de la journée. Désolée, mais vous ne verrez pas les soutifs rigolos !!!!

J’ai donc passé une grande partie de la journée dans la salle des expositions des grandes créatrices : regarder, admirer, étudier tous les petits détails de ces petites merveilles : on comprend pourquoi ces noms sont devenus des grands noms du patchwork : des pures merveilles s’étalaient devant moi. Certes, quand on feuillette les revues spécialisées, on se rend compte de la beauté des ouvrages. Mais, quand ces mêmes ouvrages s’étalent devant vos yeux, en « chair et en os » si l’on peut dire, j’ai eu du mal à quitter cet endroit.

C’est dans la maison de Yoko Saïto que j’ai passé le plus de temps. Non seulement les ouvrages exposés étaient nombreux et très différents les uns des autres, mais les détails étaient si minutieux qu’il fallait prendre le temps de tous les voir. Elle ne travaille pas les cotons comme la plupart des patcheuses, mais elle se sert de lainages, de tweed dans des couleurs très naturelles. Cela donne une autre dimension aux ouvrages. Et je ne parle pas du matelassage : vous pourrez le voir sur les photos.

              

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Le thème du concours était « Voyages extraordinaires ». Voici quelques photos (pas toutes à cause des caprices de mon appareil !!!) ;

 Bien sûr, j’ai fait des achats. Un pour le Club :

D’autres pour moi. J’avais prévu de ne pas trop me charger. Dans mon évidente logique, je ne me suis pas chargée en volume, pas d’achat de tissus, il y a Ines Patchowork pour cela ; j’ai donc acheté des livres : ce n’est pas encombrant un libre, non, mais c’est lourd !!!!

  et la dedicace de Yoko Saïto

Vous avez pu voir ses livres au club lundi 2 mai.

bonne journée

Comments

[Caroline]

merci pour ce compte rendu et les photos, ça donne envie!!!!!!!!!!!!!!!!!